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24 janv. 2025
Les régimes de Sécurité Sociale
Les régimes de Sécurité Sociale
Découvrez dans cet article les différents régimes de Sécurité sociale, leur fonctionnement et leur utilité.
Découvrez dans cet article les différents régimes de Sécurité sociale, leur fonctionnement et leur utilité.

La Sécurité sociale française est un pilier fondamental de notre système de protection sociale, offrant une couverture contre divers risques tels que la maladie, la vieillesse, les accidents du travail, ou encore la maternité. Mais saviez-vous que cette protection repose sur une organisation structurée en plusieurs régimes distincts, adaptés aux spécificités de différentes catégories de la population ? Comprendre ces régimes est essentiel pour savoir à quel organisme vous êtes rattaché, vos obligations de cotisation, quelles prestations vous pouvez percevoir en échange et comment votre situation personnelle influe sur vos droits. Découvrons ensemble les différents régimes de Sécurité sociale, leur fonctionnement et leur utilité.
Quels sont les différents régimes de Sécurité sociale et qui dépend de quel régime ?
La Sécurité sociale française est structurée en trois grands régimes principaux, chacun correspondant à une catégorie de professionnels.
Le régime général
C'est celui qui couvre la majorité de la population active, soit environ 88 % des Français. Il concerne principalement :
les personnes exerçant une activité salariée dans le privé,
Les travailleurs indépendants comme les artisans, les commerçants, les professions libérales non réglementées et les auto entrepreneurs.
Les étudiants, les agents contractuels de la fonction publique et d'autres professions spécifiques, comme les artistes-auteurs ou les demandeurs d’emploi.
Le régime général est divisé en 5 branches d’activité, représentant chacune un risque social, permettant une prise en charge par la collectivité . Chaque branche est gérée par une caisse nationale :
La branche Famille gérée par la Caisse nationale d'Allocations Familiales (CNAF) pour les aides à la famille.
La branche Maladie gérée par la Caisse nationale d’Assurance Maladie (CNAM) pour les prestations de santé et la partie accidents du travail et maladie professionnelle
La branche Accident du Travail et Maladie Professionnelle gérée également par la CNAM
La branche Retraite gérée par la Caisse nationale d’Assurance Vieillesse (CNAV) pour les pensions de retraite
La branche Autonomie gérée par la Caisse Nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA)
Le recouvrement des cotisations est assuré par l’Urssaf, qui collecte les montants calculés selon des taux applicables aux revenus déclarés, avant de les répartir entre les organismes compétents.
Le régime agricole
Spécifique aux exploitants agricoles, entreprises agricoles et à leurs salariés, ce dispositif est géré par la Mutualité Sociale Agricole (MSA). Il couvre 5% de la population. Il prend en compte les particularités du monde agricole : saisonnalité de l’activité, variabilité des revenus, exposition à certains risques physiques
La MSA assure à la fois le recouvrement, la gestion et la prise en charge des dépenses, avec un fonctionnement de type « guichet unique », plus lisible pour les assurés.
Les régimes spéciaux
Ils concernent des catégories spécifiques de travailleurs qui ne relèvent ni du régime général, ni de l'agricole. Ils ont été conçus pour répondre aux particularités de certains métiers ou statuts, souvent liés à des conditions de travail exigeantes ou à des secteurs stratégiques.
Parmi eux, on retrouve par exemple :
les fonctionnaires civils et militaires,
les cheminots de la SNCF, marins, agents des industries électriques et gazières,
les employés et clercs de notaires.
Les régimes spéciaux sont des systèmes de protection sociale autonomes qui prévoient des règles spécifiques en matière de taux de cotisation, de calcul des droits ou d’âge de départ à la retraite. Les revenus pris en compte et les modalités de recouvrement diffèrent donc selon la profession concernée. Ils offrent également des avantages spécifiques, comme une retraite anticipée ou des prestations mieux adaptées aux besoins professionnels.
Ils sont gérés par des organismes dédiés comme par exemple, la Caisse de Retraite et de Prévoyance des Clercs et Employés de Notaires (CRPCEN) et la Caisse de Retraite des Marins pour les travailleurs de la marine marchande et de la pêche. Ces caisses sont responsables de collecter les cotisations, de financer les prestations et d’assurer une gestion adaptée aux besoins de leurs affiliés.
Les taux de cotisation dans les régimes spéciaux sont souvent plus élevés que dans le régime général. Cela s'explique par les avantages spécifiques accordés aux affiliés, notamment des retraites plus favorables ou des prises en charge accrues des risques professionnel.
Comment fonctionnent ces régimes ?
Un financement basé sur les revenus
Le principe est simple : chacun contribue en fonction de ses revenus, via des prélèvements calculés selon des taux définis.
Pour les personnes salariées, ces montants sont partagés entre employeur et employé.
Pour les personnes à leur compte, la cotisation est directement calculée sur les revenus professionnels déclarés.
Ces sommes servent à assurer la prise en charge de nombreuses situations :
soins médicaux et frais de santé,
indemnités en cas d’arrêt d’activité,
pensions versées à l’âge de la retraite (gérées notamment par la Carsat au niveau local),
aides liées à la famille ou à la dépendance.
Une gestion locale et nationale coordonnée
Même si l’organisation est nationale, la gestion s’appuie fortement sur des structures locales, en particulier pour l’accompagnement des assurés, la prévention et le suivi des dossiers individuels.
La Carsat, par exemple, joue un rôle clé au niveau régional pour la retraite, l’action sociale et la prévention des risques professionnels. Elle accompagne les assurés tout au long de leur parcours, en lien avec leur situation et leurs revenus.
Pourquoi existe-t-il différents régimes ?
Une origine historique marquée par la diversité des professions
Lors de la création de la Sécurité sociale en 1945, le paysage professionnel français était très hétérogène. Certaines professions avaient déjà développé leurs propres systèmes de protection sociale bien avant cette date. Par exemple :
Les cheminots, les mineurs ou les marins disposaient d'organisations spécifiques pour couvrir les risques liés à la pénibilité de leur travail.
Les exploitants agricoles avaient des besoins différents en raison de la saisonnalité de leur activité et des risques physiques élevés dans ce secteur.
Plutôt que de supprimer ces organisations existantes, Le choix a donc été fait de conserver ces structures tout en bâtissant un socle commun, afin d’assurer une continuité des droits et une meilleure prise en compte des réalités professionnelles.
Une cohésion malgré les différences
Même si les régimes sont variés, ils reposent sur des principes communs :
Une solidarité nationale où chacun contribue selon ses moyens et reçoit selon ses besoins.
Une gestion par des organismes qui assurent le financement et la distribution des aides sociales.
Un objectif commun : la prise en charge des dépenses essentielles et la protection des individus face aux aléas de la vie, quel que soit leur statut professionnel.
Existe-t-il des régimes complémentaires ?
Oui, le socle obligatoire peut être complété par des dispositifs visant à améliorer la couverture, notamment lorsque les revenus baissent ou que certaines dépenses restent élevées. Ils sont financés par des cotisations versées par les assurés et, dans certains cas, par leurs employeurs et interviennent en complément du régime de base pour :
Augmenter le niveau de remboursement des frais de santé.
Augmenter les indemnités journalières ou rentes invalidité en cas d'arrêt de travail temporaire ou définitif
Améliorer le soutien financier des proches en cas de décès de l'assuré
Assurer des pensions de retraite supplémentaires.
Ces régimes peuvent être obligatoires, comme les complémentaires santé des salariés, ou facultatifs, comme les mutuelles santé pour les indépendants.
Les complémentaires santé (mutuelles et assurances santé)
Ces régimes permettent de compléter les remboursements de l'Assurance Maladie et même parfois couvrir les frais de santé non pris en charge par la Sécurité sociale comme :
Les dépassements d’honoraires des médecins.
Les soins dentaires coûteux (prothèses, orthodontie).
Les lunettes et lentilles de contact.
Les frais d’hospitalisation.
certains actes de prévention santé
Les mutuelles santé sont obligatoires pour les salariés du privé depuis la loi ANI de 2016, mais restent facultatives pour les indépendants, les retraités ou les étudiants.
Les retraites complémentaires
Elles viennent compléter la pension versée par la Carsat ou les organismes équivalents. Leur objectif : maintenir un niveau de revenus plus proche de celui perçu en activité. Par exemple :
l’Agirc-Arrco pour les salariés cadres et non-cadres.
La prévoyance et la dépendance
Les contrats de prévoyance complémentaire couvrent des situations comme :
L’incapacité de travail (versement d’indemnités journalières en cas d’arrêt prolongé).
L’invalidité (allocation en cas de perte de capacité de travail).
Le décès (versement d’un capital ou d’une rente aux ayants droit).
la dépendance (couverture des dépenses liées à la perte d’autonomie comme l’hébergement en établissement spécialisé ou l’intervention d’une aide à domicile)
Elle est obligatoire pour les salariés ayant le statut de cadre et pour tous les salariés dans certaines conventions collectives. Elle est facultative pour les travailleurs indépendants.
Les différents régimes de la Sécurité sociale assurent une couverture adaptée à la diversité des situations professionnelles et personnelles en France. Cependant, cette couverture reste parfois insuffisante, notamment pour maintenir un niveau de vie stable. D’où l’importance de bien comprendre sa situation et d’envisager, si nécessaire, des solutions complémentaires adaptées à son activité et à ses revenus. Lilycare vous accompagne dans la mise en place de ces dispositifs.
La Sécurité sociale française est un pilier fondamental de notre système de protection sociale, offrant une couverture contre divers risques tels que la maladie, la vieillesse, les accidents du travail, ou encore la maternité. Mais saviez-vous que cette protection repose sur une organisation structurée en plusieurs régimes distincts, adaptés aux spécificités de différentes catégories de la population ? Comprendre ces régimes est essentiel pour savoir à quel organisme vous êtes rattaché, vos obligations de cotisation, quelles prestations vous pouvez percevoir en échange et comment votre situation personnelle influe sur vos droits. Découvrons ensemble les différents régimes de Sécurité sociale, leur fonctionnement et leur utilité.
Quels sont les différents régimes de Sécurité sociale et qui dépend de quel régime ?
La Sécurité sociale française est structurée en trois grands régimes principaux, chacun correspondant à une catégorie de professionnels.
Le régime général
C'est celui qui couvre la majorité de la population active, soit environ 88 % des Français. Il concerne principalement :
les personnes exerçant une activité salariée dans le privé,
Les travailleurs indépendants comme les artisans, les commerçants, les professions libérales non réglementées et les auto entrepreneurs.
Les étudiants, les agents contractuels de la fonction publique et d'autres professions spécifiques, comme les artistes-auteurs ou les demandeurs d’emploi.
Le régime général est divisé en 5 branches d’activité, représentant chacune un risque social, permettant une prise en charge par la collectivité . Chaque branche est gérée par une caisse nationale :
La branche Famille gérée par la Caisse nationale d'Allocations Familiales (CNAF) pour les aides à la famille.
La branche Maladie gérée par la Caisse nationale d’Assurance Maladie (CNAM) pour les prestations de santé et la partie accidents du travail et maladie professionnelle
La branche Accident du Travail et Maladie Professionnelle gérée également par la CNAM
La branche Retraite gérée par la Caisse nationale d’Assurance Vieillesse (CNAV) pour les pensions de retraite
La branche Autonomie gérée par la Caisse Nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA)
Le recouvrement des cotisations est assuré par l’Urssaf, qui collecte les montants calculés selon des taux applicables aux revenus déclarés, avant de les répartir entre les organismes compétents.
Le régime agricole
Spécifique aux exploitants agricoles, entreprises agricoles et à leurs salariés, ce dispositif est géré par la Mutualité Sociale Agricole (MSA). Il couvre 5% de la population. Il prend en compte les particularités du monde agricole : saisonnalité de l’activité, variabilité des revenus, exposition à certains risques physiques
La MSA assure à la fois le recouvrement, la gestion et la prise en charge des dépenses, avec un fonctionnement de type « guichet unique », plus lisible pour les assurés.
Les régimes spéciaux
Ils concernent des catégories spécifiques de travailleurs qui ne relèvent ni du régime général, ni de l'agricole. Ils ont été conçus pour répondre aux particularités de certains métiers ou statuts, souvent liés à des conditions de travail exigeantes ou à des secteurs stratégiques.
Parmi eux, on retrouve par exemple :
les fonctionnaires civils et militaires,
les cheminots de la SNCF, marins, agents des industries électriques et gazières,
les employés et clercs de notaires.
Les régimes spéciaux sont des systèmes de protection sociale autonomes qui prévoient des règles spécifiques en matière de taux de cotisation, de calcul des droits ou d’âge de départ à la retraite. Les revenus pris en compte et les modalités de recouvrement diffèrent donc selon la profession concernée. Ils offrent également des avantages spécifiques, comme une retraite anticipée ou des prestations mieux adaptées aux besoins professionnels.
Ils sont gérés par des organismes dédiés comme par exemple, la Caisse de Retraite et de Prévoyance des Clercs et Employés de Notaires (CRPCEN) et la Caisse de Retraite des Marins pour les travailleurs de la marine marchande et de la pêche. Ces caisses sont responsables de collecter les cotisations, de financer les prestations et d’assurer une gestion adaptée aux besoins de leurs affiliés.
Les taux de cotisation dans les régimes spéciaux sont souvent plus élevés que dans le régime général. Cela s'explique par les avantages spécifiques accordés aux affiliés, notamment des retraites plus favorables ou des prises en charge accrues des risques professionnel.
Comment fonctionnent ces régimes ?
Un financement basé sur les revenus
Le principe est simple : chacun contribue en fonction de ses revenus, via des prélèvements calculés selon des taux définis.
Pour les personnes salariées, ces montants sont partagés entre employeur et employé.
Pour les personnes à leur compte, la cotisation est directement calculée sur les revenus professionnels déclarés.
Ces sommes servent à assurer la prise en charge de nombreuses situations :
soins médicaux et frais de santé,
indemnités en cas d’arrêt d’activité,
pensions versées à l’âge de la retraite (gérées notamment par la Carsat au niveau local),
aides liées à la famille ou à la dépendance.
Une gestion locale et nationale coordonnée
Même si l’organisation est nationale, la gestion s’appuie fortement sur des structures locales, en particulier pour l’accompagnement des assurés, la prévention et le suivi des dossiers individuels.
La Carsat, par exemple, joue un rôle clé au niveau régional pour la retraite, l’action sociale et la prévention des risques professionnels. Elle accompagne les assurés tout au long de leur parcours, en lien avec leur situation et leurs revenus.
Pourquoi existe-t-il différents régimes ?
Une origine historique marquée par la diversité des professions
Lors de la création de la Sécurité sociale en 1945, le paysage professionnel français était très hétérogène. Certaines professions avaient déjà développé leurs propres systèmes de protection sociale bien avant cette date. Par exemple :
Les cheminots, les mineurs ou les marins disposaient d'organisations spécifiques pour couvrir les risques liés à la pénibilité de leur travail.
Les exploitants agricoles avaient des besoins différents en raison de la saisonnalité de leur activité et des risques physiques élevés dans ce secteur.
Plutôt que de supprimer ces organisations existantes, Le choix a donc été fait de conserver ces structures tout en bâtissant un socle commun, afin d’assurer une continuité des droits et une meilleure prise en compte des réalités professionnelles.
Une cohésion malgré les différences
Même si les régimes sont variés, ils reposent sur des principes communs :
Une solidarité nationale où chacun contribue selon ses moyens et reçoit selon ses besoins.
Une gestion par des organismes qui assurent le financement et la distribution des aides sociales.
Un objectif commun : la prise en charge des dépenses essentielles et la protection des individus face aux aléas de la vie, quel que soit leur statut professionnel.
Existe-t-il des régimes complémentaires ?
Oui, le socle obligatoire peut être complété par des dispositifs visant à améliorer la couverture, notamment lorsque les revenus baissent ou que certaines dépenses restent élevées. Ils sont financés par des cotisations versées par les assurés et, dans certains cas, par leurs employeurs et interviennent en complément du régime de base pour :
Augmenter le niveau de remboursement des frais de santé.
Augmenter les indemnités journalières ou rentes invalidité en cas d'arrêt de travail temporaire ou définitif
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Assurer des pensions de retraite supplémentaires.
Ces régimes peuvent être obligatoires, comme les complémentaires santé des salariés, ou facultatifs, comme les mutuelles santé pour les indépendants.
Les complémentaires santé (mutuelles et assurances santé)
Ces régimes permettent de compléter les remboursements de l'Assurance Maladie et même parfois couvrir les frais de santé non pris en charge par la Sécurité sociale comme :
Les dépassements d’honoraires des médecins.
Les soins dentaires coûteux (prothèses, orthodontie).
Les lunettes et lentilles de contact.
Les frais d’hospitalisation.
certains actes de prévention santé
Les mutuelles santé sont obligatoires pour les salariés du privé depuis la loi ANI de 2016, mais restent facultatives pour les indépendants, les retraités ou les étudiants.
Les retraites complémentaires
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L’incapacité de travail (versement d’indemnités journalières en cas d’arrêt prolongé).
L’invalidité (allocation en cas de perte de capacité de travail).
Le décès (versement d’un capital ou d’une rente aux ayants droit).
la dépendance (couverture des dépenses liées à la perte d’autonomie comme l’hébergement en établissement spécialisé ou l’intervention d’une aide à domicile)
Elle est obligatoire pour les salariés ayant le statut de cadre et pour tous les salariés dans certaines conventions collectives. Elle est facultative pour les travailleurs indépendants.
Les différents régimes de la Sécurité sociale assurent une couverture adaptée à la diversité des situations professionnelles et personnelles en France. Cependant, cette couverture reste parfois insuffisante, notamment pour maintenir un niveau de vie stable. D’où l’importance de bien comprendre sa situation et d’envisager, si nécessaire, des solutions complémentaires adaptées à son activité et à ses revenus. Lilycare vous accompagne dans la mise en place de ces dispositifs.
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